Dans notre ère moderne (feu les temps…), nous clamons haut et fort (Chut !!! Pas trop quand même, le voisin a dégainé sa 22) les vertus de la communication … dans le couple, la famille, l’entreprise (voire dans le voisinage si le chasseur a remballé son instinct).
Chaque jour, les technologies nous apportent leur contribution pour allégrement passer de l’hygiaphone au smartphone tout en surfant sur le Web.2. Quelle magnifique démonstration par la preuve que l’Homme n’est pas une bête de somme (pour les sceptiques, je l’admets : il existe aussi des exceptions histoire de confirmer la règle, merci de compléter la liste ci-jointe…).
Pourtant … tous les matins, en posant nos charentaises ou nos mules (pour les têtes), nous chaussons nos œillères. Nous voici ainsi parés, pour ne regarder l’autre (chef, collaborateur, collègue ou situation) que sous l’angle que nous avons choisi. Résultat : Nous ne voyons que ce que nous avons décidé de voir.
Et comme au travail, l’homme est, par vocation, motivation ou obligation, un homme d’action (caractéristique non restreinte au palais Brongniart), notre vision dicte nos comportements, qui eux-mêmes, conditionnent ceux de notre interlocuteur.
Alors, avant de jeter le bébé avec l’eau du bain (Précision : c’est une image. On n’est jamais trop prudent quand on communique !!!), accordez la minute nécessaire à monsieur Cyclopède ou à madame Y. Ouvrez votre champ de vision, portez un autre regard, sans œillères.
• « Vous avez vu ? » • « Il n’est peut-être pas aussi flemmard ? » •« Elle n’est peut-être pas complètement nulle ? »« Etonnant, Non ? »