Dernier post en date du 8 Septembre, c’est le prix à payer pour une période de temps chaud chaud chaud et tant pis si ce n’est pas la technique la plus pertinente pour optimiser le référencement sur Google.
Je profite. Je profite de cette période propice pour thésauriser à outrance, consciente que l’activité est branchée sur courant alternatif… J’accumule, je capitalise, j’amoncelle, j’amasse et autres synonymes associés. Serai-je sur le chemin de la déclaration à l’ISF ? Que nenni, la route est longue et comme je ne l’emprunte pas, j’ai peu de risques de toquer à la porte du Cerfa 11284*15…
Ma fortune, je la construis sur la multiplicité et la diversité des rencontres, la densité d’un regard, la fugacité d’un sourire, la complicité silencieuse ou riante, la communion de pensées (plus ou moins avouables mais si savoureuses dès qu’elles sont partagées).
« Complicité », un mot que j’affectionne chaque jour un peu plus. Un état magique où chacun va au-delà de soi-même pour rencontrer l’autre, sur un territoire d’émotions, de « lâcher-prise ». Un territoire où chacun s’autorise à redécouvrir l’humanité qui est en lui, où chacun s’autorise à découvrir l’humanité qui est en l’autre.
Ce bonheur, d’une fraction de secondes à quelques heures, nous rappelle que l’homme est un animal social qui a le pouvoir (et la responsabilité) de dompter le loup qui sommeille en lui. Croyez-moi, c’est fort réconfortant dans une époque où même les clowns ne sont plus forcément drôles…