Les temps modernes…

… Un « post » sur un blog pour souffler la 1ère bougie de Ressource et Vous….

Une 1ère année riche d’émotions, de doutes, d’enthousiasmes où la résilience est soumise aux tests de résistance, loin des laboratoires d’essai.

Une 1ère année flatteuse, quel plaisir à 45 ans passés, d’être appelée « Jeune Créateur ».

Une 1ère année « fête » de rencontres, avec des femmes et des hommes qui n’ont pas hésité, (bien que je ne sois jamais montée sur un canasson), à me mettre le pied à l’étrier.

Merci à vous d’avoir osé la confiance : Blanche S., Bruno V., Caroline P., Charles M., Eliane B., Emmanuel G., Francis C., Frédéric B., Michel R., Mireille D., Roselyne R., Stéphanie C., Véronique R.

Au-delà du goût du risque, mesuré il va s’en dire (précision à destination des futurs clients et prescripteurs de Ressource et Vous…), vous partagez la conviction que « Tout homme a besoin, à un moment de sa vie professionnelle, d’être accompagné pour franchir, avec succès, une étape ».

Un an, c’est bien et l’avenir … ?

Comme je pressentais la question (étrange, peut-être bien que je me la pose aussi parfois …), j’ai consulté une sommité du monde des oracles avant d’écrire ces quelques lignes. (Pour le joindre : Emettre 3 ronds de fumée, un soir de pleine lune, une coupe de champagne dans la main gauche).

Je vous livre en exclusivité ses prédictions : « Les augures sont favorables ».

Amis cartésiens que vous êtes, vous me direz : « Sur quoi s’appuie-t-il, mis à part 2 jambes comme tout un chacun ? »  

Les fondements de son présage sont imparables :

13 sponsors sur le 1er exercice, 1er anniversaire le jour de l’Ascension.

Avec toute ma gratitude,

Manager : Prendre le temps de décider vite…

Le manager est un homme attendu. Attendu par son patron sur l’atteinte des objectifs fixés (ou négociés s’il s’agit d’un vrai grand patron). Attendu par son équipe sur sa capacité à décider vite (au passage aussi, sur son courage à assumer ses décisions, mais là c’est un autre sujet).

Chacun sait, dans sa sphère professionnelle comme personnelle d’ailleurs, que prendre une décision dans l’urgence ne rime pas souvent avec pertinence. Pourtant la réalité du monde de l’entreprise pousse le manager à prendre rapidement ses décisions.

Combien de temps le manager peut-il accorder à sa réflexion ? (… Un certain temps, Merci Fernand).

Deux facteurs (La Poste ne recule devant aucun sacrifice) entrent en jeu :

la confiance que lui porte son équipe. Le temps de réflexion sera soit assimilé à sa compétence (capacité à évaluer les enjeux) soit à une authentique tergiversation mettant à mal son statut de décideur et donc de manager.

L’intérêt qu’il porte, au quotidien, à chacun de ses collaborateurs et à son équipe (entité à part entière). Intérêt qui lui permet d’appréhender, en temps réel, les signaux forts et faibles, leviers ou freins à la réussite de l’option choisie.

Ainsi, la prise de décision sera d’autant plus rapide et pertinente que le manager aura anticipé l’urgence.

Comment ? En étant à l’écoute de tous les éléments de communication qui ne passent pas (et tant mieux) dans le workflow !!!

Vaincre la spirale de l’échec

La spirale de l’échec entame sa ronde lentement mais sûrement.

Elle s’immisce par un sentiment de non-performance, de stagnation, d’impuissance, de régression.

Le patinage n’a plus rien d’artistique.

La spirale de l’échec s’incruste avec ses symptômes physiques : marches des escaliers du bureau de plus en plus hautes, concentration qui se fait la belle, yeux qui piquent le jour, yeux qui clignotent la nuit.

En tourbillonnant, la spirale occulte les facultés d’analyse objective de la situation : perte de confiance, braquage du système d’alerte exclusivement sur les signaux négatifs ou perçus comme tels, victimisation.

 2 alternatives :

Un manager empathique et bienveillant (promis, il existe) envoie des messages forts d’encouragement. Il construit des objectifs spécifiques (adaptés à la situation présente) et atteignables.

Aussi modeste que soit l’espacement des barreaux, il s’agit ici de gravir à nouveau l’échelle de la réussite.

L’exercice d’un art martial … qui se pratique avec soi-même et dont la finalité est de combattre la petite voix insidieuse qui susurre à longueur de journée et de nuit : « Tu ne peux pas te le permettre ! », « Tu feras quoi après ? » « Que vont dire ta famille, tes amis ? ».

Pour fouler du pied le tatami des préjugés et la peur du futur, laissons s’exprimer une autre voix, ouvrons la voie qui conduit à la remise des clefs du bureau.

A défaut d’avoir surmonté une douloureuse épreuve professionnelle, le bel exercice du lâcher prise confère à son auteur, la fierté d’être redevenu Acteur de sa vie…

Et jusqu’à preuve du contraire, on en n’a qu’une !!!

Accompagner les acteurs de l’entreprise sur leurs scénarios professionnels !