Et de 2 pour un vendredi 13 !!!

Aujourd’hui,  vendredi 13 (croisons les doigts mais pas le chat noir !!!), Ressource et Vous souffle ses 2 bougies d’anniversaire. Une croissance à 2 chiffres (parce que je le vaux bien !!!)… et depuis le début de ce joli mois de Mai, un effectif multiplié par 2.

Souvenez-vous d’un fameux article publié en février de cette année sur ce tout aussi fameux blog : « Chance ou Malchance ? ».

Béatrice D. a décidé de parcourir un petit bout de chemin avec Ressource et Vous (chance, lol), après avoir subi les péripéties juridico-financières de son employeur (malchance !). Ce dernier n’était (oui feu !) autre qu’un de mes clients (le dictionnaire ne connait que cette unique terminologie pour désigner indifféremment l’entreprise qui paie ses prestataires et celle qui les plante !!!).

Convaincues de l’intérêt de l’offre sur laquelle nous travaillions ensemble dans cette autre vie, nous sommes résolues à poursuivre sa promotion.

Nous avons bâti une méthodologie, pragmatique et opérationnelle, pour accompagner les entreprises dans la mise en place de la GPEC (avec le décodeur : Gestion Prévisionnelle des Emplois et Compétences). Notre approche associe étroitement les salariés et la direction de l’entreprise dans l’appropriation de ses enjeux stratégiques, dans l’identification des ressources et moyens adaptés. La mise en œuvre des décisions est réalisée par une équipe projet (représentative de la pluralité de l’entreprise) que nous guidons.

Nous n’intervenons pas comme des « sachants » (un peu, ça aide quelques fois…), nous favorisons l’émergence de solutions en phase avec la culture, les valeurs et les potentialités de l’entreprise.

Hier soir encore, j’assistais à une table ronde sur le stress et la souffrance au travail (de nouveau, très intéressante, merci Bruno). Le bien-être au travail est une ambition que je partage mais comme toute ambition, elle se doit d’être réaliste. A défaut, elle risque de se transformer en une quête du Graal dont les exigences outrepassent le champ des possibles de l’entreprise.

En s’engageant dans notre démarche « GPEC Autrement partagée », l’entreprise offre l’opportunité à chacun de ses acteurs de s’impliquer dans le mieux-être au travail.

Au plaisir de partager avec vous…

Comment devenir encore un peu plus pauvre ?

A l’approche des fêtes de fin d’année, un nouveau stade dans l’abjectement cupide est joyeusement franchi par un grand (mais tellement petit) organisme de crédit.

Son slogan (décrypté mais pas déformé) : Vous êtes trop pauvre pour vous offrir de beaux et coûteux cadeaux de Noël (et bien sûr en offrir à vos enfants, n’hésitons pas à pousser le curseur de la culpabilisation), nous vous accordons un généreux crédit à 2,3% pour que vous puissiez accéder au cercle des « gens qui peuvent ».

Evidemment, nous sommes dans le cadre bienveillant de l’engagement socialement responsable, il faut être pauvre, mais pas trop (un peu de décence, vos conditions de ressources ne doivent pas être misérables) pour accéder au financement de votre « Joyeux Noël ».

Merci à cette nouvelle prouesse du crédit à la consommation, inventé pour donner l’illusion aux pauvres qu’ils sont riches… au moins jusqu’au premier avis de mise en recouvrement.

Chers (ça, ça n’a pas de prix) lecteurs, ne perdez pas de vue (malgré les budgets colossaux investis pour toujours améliorer la technologique des écrans de fumée) que l’amour ne s’achète pas, et encore moins à crédit.

Nul besoin d’opticien pour voir le monde…

Même le plus rétif d’entre nous à l’utilisation de l’informatique fait chaque matin, avant même d’avoir poser le pied à terre, l’expérience de la programmation.

Dès que les volutes du sommeil s’étiolent, notre cerveau fait la course avec le post-it du frigo : « Il faut que je pense à …. » « A 9 heures, il y a… » « Ce soir, les … ».

En même temps que nous structurons nos pensées, et ce tout au long de la journée, (voire plus pour les noctambules), elles s’ornent de couleurs plus ou moins attrayantes.

La couleur que nous adopterons (le fond d’écran de notre pensée se change aussi facilement que sur notre ordinateur) dictera la manière dont nous vivrons l’expérience.

Pour vous remercier d’avoir ouvert cet article, je vous offre cette histoire ….

Il était une fois un vieil homme assis à l’entrée d’une ville du Moyen-Orient.

Un jeune homme s’approcha et lui dit :

  • ♦ Je ne suis jamais venu ici ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?

Le vieil homme lui répondit par une question :

  • ♦ Comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ?
  • ♦ Egoïstes et méchants. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’étais bien content de partir, dit le jeune homme.

Le vieillard répondit :

  • ♦ Tu trouveras les mêmes gens ici.

Un peu plus tard, un autre jeune homme s’approcha et lui posa exactement la même question.

  • ♦ Je viens d’arriver dans la région ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?

Le vieil homme répondit de même :

  • ♦ Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ?
  • ♦ Ils étaient bons et accueillants, honnêtes ; j’y avais de bons amis ; j’ai eu beaucoup de mal à la quitter, répondit le jeune homme.
  • ♦ Tu trouveras les mêmes ici, répondit le vieil homme.

Un marchand qui faisait boire ses chameaux non loin de là avait entendu les deux conversations. Dès que le deuxième jeune homme se fut éloigné, il s’adressa au vieillard sur un ton de reproche :

  • ♦ Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la même question posée par deux personnes ?
  • ♦ Celui qui ouvre son cœur change aussi son regard sur les autres, répondit le vieillard. Chacun porte son univers dans son cœur.

La bonne nouvelle est que nous percevons le monde tel que nous avons décidé de le voir.

Libre à vous de remplacer dans Votre histoire la ville par Votre entreprise et peut-être alors que demain …

Accompagner les acteurs de l’entreprise sur leurs scénarios professionnels !