S’enrichir à moindre coût

Ressource et VousDernier post en date du 8 Septembre, c’est le prix à payer pour une période de temps chaud chaud chaud et tant pis si ce n’est pas la technique la plus pertinente pour optimiser le référencement sur Google.

Je profite. Je profite de cette période propice pour thésauriser à outrance, consciente que l’activité est branchée sur courant alternatif…  J’accumule, je capitalise, j’amoncelle, j’amasse et autres synonymes associés. Serai-je sur le chemin de la déclaration à l’ISF ? Que nenni, la route est longue et comme je ne l’emprunte pas, j’ai peu de risques de toquer à la porte du Cerfa 11284*15…

Ma fortune, je la construis sur la multiplicité et la diversité des rencontres, la densité d’un regard, la fugacité d’un sourire, la complicité silencieuse ou riante, la communion de pensées (plus ou moins avouables mais si savoureuses dès qu’elles sont partagées).

« Complicité », un mot que j’affectionne chaque jour un peu plus. Un état magique où chacun va au-delà de soi-même pour rencontrer l’autre, sur un territoire d’émotions, de « lâcher-prise ». Un territoire où chacun s’autorise à redécouvrir l’humanité qui est en lui, où chacun s’autorise à découvrir l’humanité qui est en l’autre.

Ce bonheur, d’une fraction de secondes à quelques heures, nous rappelle que l’homme est un animal social qui a le pouvoir (et la responsabilité) de dompter le loup qui sommeille en lui. Croyez-moi, c’est fort réconfortant dans une époque où même les clowns ne sont plus forcément drôles…

C’est la rentrée …

CoachingQuand on se nomme Ressource et Vous, il faut savoir se ressourcer : 10 jours de congés prévus, 15 de pris (le plaisir du farniente n’a pas de prix, si ce n’est que les vacances du travailleur indépendant n’entrent pas dans la case « congés payés»… 

Pour fêter cette rentrée qui s’apparente à une reprise hyper-tonique (bel exemple ce matin, n’est-ce pas Roselyne ?), j’ai, sous l’amicale pression de Lucie et Loïc, quelque peu relooké mon cartable mon site. Je vous invite à en feuilleter les pages.

Si certaines retiennent votre attention, n’hésitez pas à retenir mes coordonnées 🙂

@ très bientôt

A l’heure de la réforme de la formation professionnelle…

coaching lyon… Il est temps d’écrire (voix off : pas de post depuis le 4 Juin difficile de dire le contraire….) un plaidoyer pour l’abrogation de la forme transitive passive du verbe « Former ».

De sources sûres (sans doute, mais non identifiées), le participant lambada (actualité footballistique oblige) ne retiendrait que 10 à 15% d’une formation. Les optimistes noteront que l’utilisation du pourcentage laisse supposer qu’il existe un contenu, le tout étant égal à 100%. Il n’empêche qu’une calculatrice scientifique sophistiquée s’avère superflue pour désespérer (allègrement) de l’efficience de la formule.

Intégrons à la démonstration (résurgence nostalgique des cours de mathématiques) les données suivantes, le formateur maîtrise son sujet : Expertise et Art de transmettre (si ce n’est pas le cas, reprenez votre grille de sélection et retournez à la case « Départ »). Pourquoi 85 à 90% de la formation s’évaporent sans autre trace de résidus ?

La FAUTE à la forme transitive passive du verbe « Former » !!!

Lisez cette phrase et écoutez comme elle résonne en vous : « J’ai été formé à …» (je ne mets pas de « e » entre parenthèses à « formé » mais entre parenthèses, phrase valable aussi pour les filles)

Exercice similaire : « Je me suis formé à … » (remarque précédente valable ici aussi)

Vous sentez la différence apportée par un tout petit « me » ?

Définition : Pronom personnel réfléchi, qui renvoie au sujet réfléchi. Doublement réfléchi le sujet, il vient en formation pour se former, pour se développer.

Conclusion évolutive :

Former, c’est quoi ? Transmettre un savoir, un savoir-faire

Etre formé, c’est quoi ? Ouvrir la main pour recueillir le contenu

Se former, c’est quoi ? Refermer la main pour se l’approprier

Former = A prendre (ou à laisser…)

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