C’est la rentrée …

CoachingQuand on se nomme Ressource et Vous, il faut savoir se ressourcer : 10 jours de congés prévus, 15 de pris (le plaisir du farniente n’a pas de prix, si ce n’est que les vacances du travailleur indépendant n’entrent pas dans la case « congés payés»… 

Pour fêter cette rentrée qui s’apparente à une reprise hyper-tonique (bel exemple ce matin, n’est-ce pas Roselyne ?), j’ai, sous l’amicale pression de Lucie et Loïc, quelque peu relooké mon cartable mon site. Je vous invite à en feuilleter les pages.

Si certaines retiennent votre attention, n’hésitez pas à retenir mes coordonnées 🙂

@ très bientôt

Travaillez la confiance en soi, c’est si bon pour les autres…

Mathiaux - CoachEssentiellement envisagée comme un inventaire de bienfaits personnels (gestion du stress, affirmation de soi, leadership…), la confiance en soi est peu abordée sous l’angle de l’autre. Et pourtant…

Un manager qui a travaillé sa confiance en soi pour la canaliser (en s’efforçant d’oublier son mentor « Superman ») ou pour la renforcer (en se remémorant les vertus du « même pas mal ») est un manager qui laisse la place à l’expression de son équipier.

Bien que résolument optimiste, son humilité (réaliste) le porte à croire qu’il ne peut connaitre le résultat exact de ses décisions, de ses actions. En intégrant cette zone d’incertitude, elle est devenue un « no problem » car il a aussi dans son escarcelle la conviction de disposer des ressources nécessaires pour construire de nouvelles solutions, pour imager des portes de sortie, pour rebondir ailleurs (et peut-être mieux encore ).

Fort de sa confiance en soi, le manager (magnanime) n’a aucune difficulté à augmenter sa zone d’incertitude du résultat des actions qu’il confie à ses équipiers.

Si vous voulez déléguer en confiance, en premier lieu, faites-vous confiance

A l’heure de la réforme de la formation professionnelle…

coaching lyon… Il est temps d’écrire (voix off : pas de post depuis le 4 Juin difficile de dire le contraire….) un plaidoyer pour l’abrogation de la forme transitive passive du verbe « Former ».

De sources sûres (sans doute, mais non identifiées), le participant lambada (actualité footballistique oblige) ne retiendrait que 10 à 15% d’une formation. Les optimistes noteront que l’utilisation du pourcentage laisse supposer qu’il existe un contenu, le tout étant égal à 100%. Il n’empêche qu’une calculatrice scientifique sophistiquée s’avère superflue pour désespérer (allègrement) de l’efficience de la formule.

Intégrons à la démonstration (résurgence nostalgique des cours de mathématiques) les données suivantes, le formateur maîtrise son sujet : Expertise et Art de transmettre (si ce n’est pas le cas, reprenez votre grille de sélection et retournez à la case « Départ »). Pourquoi 85 à 90% de la formation s’évaporent sans autre trace de résidus ?

La FAUTE à la forme transitive passive du verbe « Former » !!!

Lisez cette phrase et écoutez comme elle résonne en vous : « J’ai été formé à …» (je ne mets pas de « e » entre parenthèses à « formé » mais entre parenthèses, phrase valable aussi pour les filles)

Exercice similaire : « Je me suis formé à … » (remarque précédente valable ici aussi)

Vous sentez la différence apportée par un tout petit « me » ?

Définition : Pronom personnel réfléchi, qui renvoie au sujet réfléchi. Doublement réfléchi le sujet, il vient en formation pour se former, pour se développer.

Conclusion évolutive :

Former, c’est quoi ? Transmettre un savoir, un savoir-faire

Etre formé, c’est quoi ? Ouvrir la main pour recueillir le contenu

Se former, c’est quoi ? Refermer la main pour se l’approprier

Former = A prendre (ou à laisser…)

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